BA Architecte

En matière d'architecture, peu de lattitude avec ce petit pavillon. Je suis donc parti de l'usage. Usage du panorama, comme je l'ai dit dans le précédent article, qui est le guide, et besoin en surface. La famille qui va habiter là vivait dans 130 m2, et n'en trouve ici que 70 habitables pour le moment; elle était habituée à des espaces ouverts, soit plutôt le contraire de cette petite maison Monopoly. Le 1er jet du 1er jet, un peu dur, j'en conviens, mais qui ne fait pas semblant Le parti, des plus simples, va simplement être d'ajouter un volume avec les surfaces nécessaires, largement ouvert sur la vue ;  un projet qui ne tente pas de faire passer des vessies pour des lanternes: une extension, c'est une extension! L'idée d'avoir un volume double de plain-pied sur le jardin est vite abandonnée: pas question de monter et descendre un escalier 25 fois par jour. Le rez de jardin sera donc pour une chambre (facilitant l'exfiltration d

J'ai visité ce week-end un vieil ami. Vous vous en fichez. Jusque là, tout est normal. Sauf que c'est celui pour lequel j'avais fait un projet de rénovation sur un pavillon des années 70. L'article est consultable ici: articleconsultablici. L' article d'aujourd'hui, c'est comme les émissions de télé - que sont t'ils devenus? - vous attendiez la suite avec impatience (on peut réver).  Pour mémoire, et pour ceux qui ont la flemme d'aller sur l'article, je proposais plusieurs scénarios à partir d'un pavillon avec déco de ce genre: Le décor initial... Transformé façon catalogue pour mobilier scandinave. L'hypothèse finalement retenue.... Et ses divers développements: repas encore repas.. le salon, avec dans cette hypothèse la mise en valeur du panorama. Le bureau à la place de l'ancien salon (à droite, l'ancienne cheminée) Pareil pour la chambre La poutre est celle que l'on voit su

Besançon, avec une cédille Un mois que je n'ai rien écrit..et une grosse flemme m'assaille. Je vous sors donc une collection à moi: les vieilles devantures de magasin.Avec ici le thème du tabac. Parce qu'aujourd'hui, fumer, c'est mal...mais il y encore 40 ans, fumer, c'était le top de la branchitude.. regardez un documentaire INA de l'époque, et vous verrez que tous, à commencer par les hommes politiques, fumaient comme des cheminées. Fumer, c'était la modernité! Modernité qui ressortait dans les vitrines des tabacs de l'époque, dans le graphisme soit de l'enseigne, soit carrément dans la composition de la façade. Suivent ici quelques exemples de vitrines conservées dans leur jus... Auxerre Dijon (années 50) Auxonne (21) Cahors Dijon (très classe) Laceaune (81)