Accéder au contenu principal

Au secours des enfants perdus

Ce blog se veut (parfois, accidentellement) intellectuel et philosophique.
De temps à autre, je m'interroge, dans une optique dialectique, sur des objets qui ont marqué notre temps et qui interrogent profondément sur les rapports métaphysique et intemporels de certains produits manufaturés avec notre société et ses fonctionnements/dysfonctionnement....

Thème d'actualité, déjà analysé par Didier Tronchet dans l'album "enfance" de Jean Claude Tergal (qui a aussi mis en lumière  le rôle du catalogue La Redoute dans la sexualité des ados des années 70 et 80):
le repas interminaaable pour les enfants....(sacré dysfonctionnement)


Je souhaite donc apporter un hommage à ces trois objet qui nous ont bien souvent sauvé d'un ennui morteeel: le tire-bouchon à bras, la pince à sucre et le dessous de plat téléscopique!
Ayez une pensée émue pour eux en ces terribles jours de fêtes.....

Dans le genre vieux pain rassis, vous pouvez aussi allez voir Germaine.

 


 

Commentaires

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

Question de point de vue...

  De passage à Genève, j’ai fait mon snob et je suis allé croquer l’immeuble Clarté de Le Corbusier.   Cet immeuble, moins connu que d’autres bâtiments de la même époque, comme la Cité du refuge de l’armée du Salut à Paris (construction en acier, localisation, standing ?) est souvent décontextualisé dans les photos qui en sont diffusées, objet moderne esseulé. Une photo des plus connues, ci dessous, laisse même planer le doute d'un parvis devant la façade nord de l'immeuble:     Cette attitude n'est pas réservée à la période contemporaine puisque les photos d'époque tentaient déjà d'extraire le bâtiment de son contexte, soit par des angles de vue dont j'ai pu constater sur place qu'ils nécessitent quelques contorsions... soit en choisissant certains éléments remarquables, comme l'entrée. La réalité est tout autre L’immeuble se présente sous différents visages selon le point de vue sur place : seul et « iconique » en regardant la rue St Laurent (u...

Soyons sérieux!

 Je recycle ici un article que j'ai publié sur un réseau social ou la mythologie ne fait pas frémir grand monde.... Tout dans la mésaventure collective du virus qui nous afflige renvoie à des récits bibliques ou mythologiques... Au commencement, on pense bien évidemment au récit de Babel, dans le livre de la genèse 11, versets 1 à 9. Peter Bruegel, la tour de Babbel...c'était déjà bancal, leur construction, non?  Un parallèle facile entre la mondialisation, l'orgueil, la punition et la symbolique de cet épisode de la bible ne peut nous échapper !   Allons ensuite puiser dans la mythologie grecque : en vrac, Narcisse, Echo et Cassandre. William waterhouse, Echo et Narcisse...Narcisse avait vraiment besoin d'un psy, qui pourrait rester de marbre? Narcisse, qui devint si amoureux de son reflet dans l'eau qu'il prit racine et ne parvint plus à fabriquer des masques en papier tout occupé qu'il était à faire des selfies devant les train...

Immeubles vs Pavillons?

Parler de densification est un sujet délicat, qui amène souvent à s'exposer à l'opprobre publique, à l'exposition intentionnelle et malveillante de la part d'autrui aux maladies contagieuses, se faire traiter de sale communiste ou de capitaliste ( sale aussi) , selon l'orientation politique de votre interlocuteur. Le sujet réveille un traumatisme collectif au moins aussi fort que l'exécution de Groquick par la marque Nestlé, il est le symbole d'une époque urbanistique louche: les années soixante, amorce de l'hyper-concentration urbaine. La défense au début des années 60 (une image parmi tant d'autres sur le siteParis Unplugged https://www.paris-unplugged.fr/1958-histoire-de-la-defense/ Disons le tout net, mues par une certaine urgence, les années soixante ont été le théâtre de nombreux abus, pas seulement immobiliers. C'est les temps du « zoning » (concept urbain fonctionnaliste) de la création d'autoroutes qui ont coupé d...