Il paraît qu'impossible n'est pas français. Je n'ai pas de goût particuliers pour les dictons à la noix, mais je me remet à l'ouvrage:
Avec un budget comme ça, on commence par la compta et on verra pour l'art après!
Solution 2 : la même chose, mais avec un atelier sous les deux tiers du bâtiments seulement, et complètement ouvert (les propriétaires fermeront plus tard, l'atelier sera pour après).
Au dessus, toujours le même principe (chevrons porteurs, trois lignes porteuses dont une centrale).
Flûte de crotte, ça ne passe toujours pas. Ce socle me coute décidément bien cher, et il risque de m'apporter des problèmes de pont thermiques!
3ème solution: Bâtiment homogène, avec un plancher bois rempli de 30 cm d'isolant et un dallage classique sous les chambres. Je trouve par ailleurs un bardage un peu moins cher (30 euros du m2, ça compte), et passe toute la façade sud en mur d'agglos isolé par l'extérieur, pour compenser l'inertie du plancher béton perdu et..économiser 50 €uros du m2..Oh Yes, Yes, j'y arrive, j'y arrive.
Tiens, intéressant cet article qu'Aline Aublé, la future occupante des lieux, met dans son blog sur la récupération des eaux concernant son projet:
http://www.mamaisonbioclimatique.fr/ecologie/rentabilite-dune-citerne-enterree
http://www.mamaisonbioclimatique.fr/ecologie/rentabilite-dune-citerne-enterree
...Arghh! L'assainissement non collectif, j'ai oublié l'assainissement non collectif. Il n'y a pas de réseaux de collecte des eaux usées! Encore un billet de 10000.
Patatras, j'abdique, et leur présente finalement une douloureuse de 150000 pour 130000 de budget.
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